AVEC L'APPROCHE DES ALLIÉS
HITLER DOIT ÊTRE SÛR
DE SON COMMANDANT À PARIS
Il choisit le général Dietrich von Choltitz,
qui avait rasé Rotterdam
et rit en forçant des Russes
de bombarder leurs propres maisons
Photo d'un récit polonais |
Quand les Parisiens s'élèvent
pour libérer leur ville eux-mêmes...
Paris brûle t'il ? bande d'annonce |
...Hitler commande à Choltitz
de tout détruire,
y compris Notre Dame et le Louvre.
Il fait donc placer des mines partout,
y compris sous les ponts.
Les faire exploser inonderait la ville
et noierait un ou deux millions
de sa population de trois millions
-- D'après le film franco-allemand Diplomatie
de Volker Shlondorff avec Niels Arestrup et Andre Dussolier, 2014
hurlant Paris brennt ?
(« Paris brûle t'il ? »)
Quelques jours plus tard
il commande de détruire Varsovie
mètre par mètre,
en représailles pour s'être soulevé
(« Paris brûle t'il ? »)
Quelques jours plus tard
il commande de détruire Varsovie
mètre par mètre,
en représailles pour s'être soulevé
Début du film polonais Kanal d'Andrez Wasda, 1958
Choltitz élude l'ordre :
Paris brûle-t'il ? bande d'annonce
Choltitz survit à la guerre.
Quand vingt ans plus tard
on lui demande pourquoi
il rompit son serment d'obéissance,
il répond,
on lui demande pourquoi
il rompit son serment d'obéissance,
il répond,
« J'étais un soldat, pas un criminel. Si j'avais pensé que détruire Paris aiderait l'Allemagne à gagner la guerre, je l'aurais fait sans un instant d'hésitation. Mais je savais qu'elle était perdue, et je ne voulais pas entrer dans l'Histoire comme la personne qui avait détruit une telle beauté ».
Le passé s'étend en cercles infinis
- Choltitz sauve Paris parce que sa beauté l'émut.
- La vue des fenêtres de son hôtel permettent cette contemplation.
- L'hôtel occupe cet emplacement pour être proche de joailliers.
- Ils s'y établissent pour servir une clientèle internationale fortunée.
- Pour beaucoup de ces visiteurs, une rencontre galante avec une ballerine fait partie de l'expérience parisienne.
Les ballerines exigent des bijoux...
Disons donc,
« Merci les filles ! »
Degas, exposition de ses œuvres sur le ballet au Musée d'Orsay
Fin de ce chapitre
et presque la fin du bloog.
* * *
et presque la fin du bloog.
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Suite,
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