III.5.2. DES ARTS CONNUS SURTOUT DES VOISINS

MENU : 3.5.2. Arts connus surtout des voisins 

LES PUBS ET LEURS PRESSIONS VERS L'UNIFORMITÉ SONT ABSENTS DE CE QUARTIER MÉCONNU... 

Où la création n'a rien à voir avec les stéréotypes.

Sculptures d'un atelier sur la rue. Bien que je suis souvent à La Goutte d'Or, je ne l'aurais pas découvert sans l'exposition de figures géantes de migrants pendant une exposition à Saint-Bernard de la Chapelle (cliquez et déroulez la page).

Découverts par hasard

• L'inventivité qui anima une rue ordinaire 

• L'art relie le quartier à des gosses en Afrique

• Des panneaux sur la grille d'un parc

• Une photographie aussi inattendue que son site

• Du théâtre qui transforme des rues en scène

• Une sculpture voltige au dessus de lavabos

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L'inventivité qui anima une rue ordinaire

L'INVENTIVITÉ QUI ANIMA UNE RUE ORDINAIRE

De 2000 à 2021, le 50 rue Labat.

Des planches en chêne vieilles de deux siècles.

Blandine Gautier and Marika Leccia habitent maintenant en Bretagne. Elles y proposent des ateliers qui transforment les déchets en art :

Site web

Les visiteurs sont bienvenus.

https://www.angeetdam.com/

ange@angeetdam.com

(33) 06 52 46 73 86

Le centre d'art pour enfants 

qu'elles ont établi au Burkina Faso continue.

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L'art relie le quartier à des gosses en Afrique

 

L'ART RELIE LE QUARTIER À DES GOSSES EN AFRIQUE

CETTE ÉVOCATION DE BOBO DIOULASSO ORNAIT LE MUR DE L'ATELIER 

Des enfants l'avaient fait à un centre fondé par les sculpteures : 

Pour cette photo et celles prises en Africa / zoom

La Soupape Ailée 

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Les artistes

Depuis 2014, des ados

Les enseignants

 

• Sanogo Boureima, dit I.B., dirige l'atelier. Chaque semaine il envoie de photos du progrès de enfants :  

Un de ses tableaux exposés au musée consacré à l'art brut, la Halle Saint-Pierre.

• Moukoro Kassoum, dit Ladji, apprit l'art au centre comme enfant. Il est maintenant sculpteur professionnel :  

 

Pour le spectacle, musique, gosses et mamans, cliquez. 

• Safiatou Ballo, griot, pour la danse :

# # #

Des adhésions à l'association et une exposition annuelle où l'art des enfants est échangé contre des dons financent le centre :

Les expositions ont lieu au Secours populaire

6 passage Ramey, 18e

 

En échange d'une adhésion bienfaiteurs de 30 €,

les donateurs reçoivent un calendrier

et des photos récentes du centre et des enfants.

Et des vœux.

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Ces dons et les cotisations 

sont les seules ressources de l'association.

Le centre que Blandine et Malika ont fondé

il y a plus de vingt ans 

enrichissent enfants africains,

et Français qui découvrent cet art joyeux.

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Des panneaux sur la grille d'un parc...

DES PANNEAUX SUR LA GRILLE D'UN PARC...

ANNONCENT DES MARIONNETTES DU MALI...

Et conduisent à une autre aventure.

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Une photographie aussi inattendue que son site

UNE PHOTOGRAPHIE AUSSI INATTENDUE QUE SON SITE

LES AFFICHES ANNONÇAIENT LES MARIONNETTES

AU « LAVOIR MODERNE PARISIEN »  

Donc j'y suis allée. 

Là où commence « L'Assommoir » de Zola, mentionné à la page sur Barbès, et à suivre.

Il y avait une entrée, un bar, un salon, un escalier avec ces photos d'Africains des années 1960...

Des marionnettes... 

Et des pièces d'un défilé de mode africaine :

# # #

Une interview était en train d'être filmée, préface à un événement qui a débuté quelques minutes plus tard :

Il proposait des vêtements et des objets africains des années 1950 et 1960...

Pour inventer une autre histoire de soi :

Une station de radio avait mentionné l'événement et la salle ne désemplissait pas. 

 

Fatoumata Diabaté, du Mali, a imaginé ce jeu :

En cherchant une sorte de créativité

je suis tombée sur une autre,

sans parler du site auquel nous reviendrons.

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Du théâtre qui transforme des rues en scène

DU THÉÂTRE QUI TRANSFORME DES RUES EN SCÈNE...

COMMENCE PAR LA VIOLONISTE DE L'AUTRE CÔTÉ DE LA RUE

Les comédiens sont présentés en faisant certains se plaindre des rôles qu'on leur assigne...

Ensuite une musique du XVIe siècle conduit le public...

Par des rues du quartier...

À un passage...

Et à une cour :

Les perruques évoquent les fées dans Un Songe de nuit d'été sous le regard des voisins :

 

  

« COMME IL NOUS PLAIRA »

Christophe Sigognault a écrit le livret 

et a joué Falstaff pour la Compagnie Gaby Sourire. 

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Cette production a-t'elle inspiré

 l'utilisation de la ville comme arrière-plan

 de la cérémonie d'ouverture des J.O. 

deux ans plus tard ? 

 

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Une sculpture qui voltige au dessus des lavabos