AU SIFFLET D'UN GUETTEUR LES COLPORTEURS SAISSISENT LEURS AFFAIRES ET FUIENT : LA POLICE APPROCHE
Un journal de droite écrit, « La multitude de vendeurs de rue qui obstruent la rue Dejean partent tranquillement quand la police arrive, pour revenir quelques minutes plus tard. »
-- "Le Figaro,"
« Partir tranquillement » est le contraire de la fuite éperdue.
L'auteur ne dit pas que que la rue étant piétonne, il n'y a pas de circulation à bloquer.
Ou que magasins et vendeurs de rue sont complémentaires : les premiers proposent de l'alimentation, les autres, des sacs à main, du maquillage, des bijoux fantaisie et des habits, rendant ce marché une sorte de centre commercial.
mais après plusieurs heures,
une perte importante quand le marché permet de survivre.
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