LA FOULE ENVAHIT LE PALAIS, MOQUE OU DÉTRUIT L'AMEUBLEMENT, BRÛLE LE TRÔNE, CONTRÔLE LA RUE
MAIS NE PILLE PAS
Brûler le carrosse royal pendant la Révolution parisienne de 1848, 25 février 1848 de Nathaniel Currier, 1848 / zoom
Détail du tableau de Lamartine à l'Hotel de Ville
Pas de pillage, puisque les trésors sont apportés à l'Hôtel de Ville. La main qui sournoisement avance vers une théière enforce le clou.
« ...le peuple seul portait des armes, gardait les lieux publics,
veillait, commandait, punissait.
C'était une chose extraordinaire et terrible de voir dans les seules mains de ceux qui ne possédait rien toute cette immense ville,
pleine de tant de richesses... »
-- Rodolphe Apponyi,
cousin de l'ambassadeur d'Autriche
Thiers « gesticulait, sanglotait, prononçait des paroles incohérentes ».
-- Le député qui le raccompagne quand l'insurrection réussit,
cité dans Thiers, par Georges Valence
alors que les genoux tremblaient ».
-- George Sand
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Les textes actuels que je connaisse
ne mentionnent ni cette discipline ni cette peur.
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