samedi 24 juin 2017

DES SPÉCIALITÉS GOURMANDES SURGISSENT

 

EN FACE DU FAST-FOOD 

« Trouver les 40,000 euros que l'agence immobilière demandait nous était impossible, mais nous pouvions nous permettre ce coin de rue » 

-- Sonia, la cordiale co-propriétaire 

Vivre(s)
39 bis rue de Doudeauville


À une minute :

Un peu plus loin, des épices et de la musique africaine...  

Koyaka Market
47 rue Myhra

...des thés et des cafés...

Brûlerie Barbès
14 rue des Poissonniers  

Rayane a gentiment attendu de fermer la boutique pour le Ramadan pour que je puisse prendre des photos : l'odeur des cafés torréfiés était merveilleux.  
 
Les épiceries elles-mêmes peuvent avoir du cachet...

Amiprimeur
10 rue Caplat
(En approchant le métro Barbès)


...comme l'est la bière artisanale : à quelques pas des jeunes inquiétants au métro Barbèsla co-existence semble aller de soi.  



28 rue de la Goutte d'Or

# # #

 Des mères et des grand mères, 
 assises sur le trottoir près du marché
ou au square Léon,
vendent des sodas ou des galettes 
qu'elles ont préparé elles-mêmes : 



 -- « Combien ? » « Un euro. » « C'est peu ! » 
-- « Mais on ne paie pas d'impôts. »
(Elles rient) 

Les milliardaires non plus.
Mais ils se font prendre en photo,
elles non.  

*    *    *
Suite,

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