L'ARTÈRE QUI VIENT D'ETRE DÉCRITE CONDUIT À UN RÉSEAU AUTOUR DE VIDES POUR ACCEUILLIR TROUPES, CHEVAUX ET CANONS
(PARMI LES PREMIERS TRAVAUX, EN 1852-1853)
La place Saint-Michel et les vides devant Notre-Dame et l'Hôtel de Ville :
Adapté d'un plan Google
# # #
« Murs de Paris découverts par les démolitions de la place Saint-Michel », gravure de 1860 / zoom
Adapté d'une photo du web, photographe non nommé
Vue prise d'une tour de Notre-Dame
- De l'extrémité du parvis les soldats pouvaient prendre une autre rue élargie et un autre pont renforcé vers un autre espace géant, l'esplanade de l'Hôtel de Ville :
« Prise de l'Hôtel de Ville » (coupée) de Amédée Bourgeois, 1831 / zoom
Le pont avant les travaux
Le pont transformé
- L'esplanade de l'Hôtel de Ville, avant et après les travaux
Cette esplanade devient le nœud du réseau rive droite...
- À gauche, l'ancienne voie de commerce relativement droite (la rue Saint-Antoine), élargie pour des tournois et la voie du cortège de Louis XIV) : elle est assez large et droite pour que l'armée s'y déplace et construire une artère de plus n'est pas nécessaire.
- À droite, une rue insignifiante longe l'espace comme à Notre-Dame. Elle conduit à une autre vaste rue rectiligne, que conduit à Châtelet, le cœur de la rive droite...
Derrière l'Hôtel de Ville était la caserne Lobau. À suivre.
# # #
Ces changements permettaient, bien sûr,
une circulation infiniment plus fluide,
et faisaient rentrer l'air et la lumière.
Mais les trois vides immenses,
dont deux sont des impasses,
étaient conçus pour assembler l'armée.
* * *
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire