LES CRAQUELURES AUTOUR DE CE TABLEAU ONT ENFIN ÉTÉ RÉPARÉES...
Louis XIII s'incline devant un crucifix, anonyme, à Saint-Paul Saint-Louis, 4e |
On s'arrête pour méditer ou allumer des bougies, mais je n'ai jamais vu contempler ce tableau d'hommage au roi, dans une église construite pour honorer la monarchie.
Ce passé est oublié.
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Comparez cette œuvre avec une image comme celle-ci : la reine superbe, colossale et invincible ne dit pas ce qu'elle vend, encore moins pourquoi l'acheter :
Au sommet de l'Hôtel Lutétia, 6e
Elle survole le public comme Big Brother en hommage non pas à un produit mais à une marque, dont l'achat est un ordre.
Pour mordre à un tel hameçon le publique doit être soumis, crédule et sans autre cadre de référence : la majesté des monarques fait barrage à cet anéantissement.
De plus, ils ont laissé un héritage
de grandeur artistique et architecturale
qui rend la consommation insignifiante.
On ne le rejette pas — on l'ignore :
Louis XIV devant le Louvre
Les rois font un retour en histoire
quand nous remarquons la majesté
qu'ils nous transmettent.
Fin de la Partie IV.
* * *
L'autre raison majeure pour la beauté de Paris,
la peur que les insurrections incitèrent,
est également occultée.
La Partie V adresse cette lacune.
Suite,V.
La ville d'insurrection et de massacre