EN 2010 CETTE PLAQUE À L'HAUTEUR DES YEUX ÉTAIT
IMMÉDIATEMENT VISIBLE
En 2016 on l'avait déplacé à un coin sombre près du plancher, et j'ai du chercher pour la trouver.
« Les combats qui marquèrent la fin de la commune furent d'une extrême violence, les troupes versaillaises fusillant sans jugement tous les sujets arrêtés. Le général Mac-Mahon, chef des opérations, avouait dix-sept mille exécutions, chiffre qu'il faudrait sans doute majorer. »
La Commune occupait alors deux minuscules salles au fond du troisième étage. La première montrait...
- Quatre peintures d'incendies associées aux communards. Lumineuses, elle éclairaient les ténèbres :
Comme les scènes de combat déjà montrées, la violence se fond dans le paysage urbain. Dans deux des tableaux personne n'est à terre, dans les deux autres, il faut regarder attentivement pour les trouver.
- La seule œuvre du point de vue communard :
La seconde salle, ensoleillée,
était consacrée à des portraits
de généraux ou de chefs du gouvernement versaillais.
* * *
Suite,
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