dimanche 22 juin 2014

LE MUSÉE DE LA VILLE AVANT SA RENOVATION...


EN 2010 CETTE PLAQUE 
À L'HAUTEUR DES YEUX 
ÉTAIT IMMÉDIATEMENT VISIBLE

En 2016 on l'avait déplacé
à un coin spécialement sombre
près du plancher,
et j'ai du chercher pour la trouver 


« Les combats qui marquèrent la fin de la commune furent d'une extrême violence, les troupes versaillaises fusillant sans jugement tous les sujets arrêtés. Le général Mac-Mahon, chef des opérations, avouait dix-sept mille exécutions, chiffre qu'il faudrait sans doute majorer. » 


La Commune occupait alors
deux minuscules salles 
au fond du troisième étage.
La première montrait...

  • Quatre peintures d'incendies associées aux communards. Lumineuses, elle éclairaient les ténèbres

Les incendies de 1871 de Gustave Boulanger, 1871zoom
Zoom
Zoom
Comme les scènes de combat déjà montrées, la violence se fond dans le paysage urbain. Dans deux tableaux personne n'est à terre, dans les deux autres, il faut regarder attentivement pour les trouver. 

  • Il n'y avait aucune référence à la destruction de l'armée. 

  • Une seule œuvre d'un point de vue communard était exposée :


   Exécution d'un trompette pendant la Commune de Alfred Roll / zoom

La seconde salle, ensoleillée, 
était consacrée à des portraits
de généraux ou de chefs du gouvernement versaillais.

*     *     *

Suite,







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